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Imbroglio

20 avril 2009

Parfois j'ai l'impression de faire les choses de

Parfois j'ai l'impression de faire les choses de travers, de ne pas savoir m'y prendre. J'envie les gens qui font preuve d'une assurance à toute épreuve et qui, même s'ils hésitent, ont toujours l'air de savoir ce qu'ils font. Je veux dire... parfois, il m'arrive de vouloir dire ou faire des choses, et au final je me rétracte sans cesse, de peur de faire une bêtise, de vexer ou blesser l'autre. Et parfois quand je le fais, quand j'ose, dans la seconde je le regrette et aimerais ne jamais avoir fait cela. Quand ça sort, c'est de manière floue, désordonnée, cela traduit toujours très mal le sens premier de ce que je souhaitais faire partager. Bien entendu, quand ça se passe ainsi, c'est avec des personnes spéciales, à qui j'aimerais dire ce que j'ai sur le coeur quand ça va et surtout quand ça va pas... Un jour, ça va me bouffer de l'intérieur.

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18 mars 2009

Pêle-mêle

Et non, je ne suis pas morte ! On aurait pu le croire, c'est vrai, mais ce n'est pas le cas. Disons que j'ai eu un passage à vide : une période chiante suivie d'une période bien occupée, résultat, je n'ai pas vraiment donné de nouvelles sur mon blog. Mais je me rachète de suite. D'ailleurs, vous constaterez que le blog prend de nouvelles couleurs. Bref. Que dire... ?

Parlons dans un premier temps de 2009 dans son ensemble. Pour le moment le constat est mitigé. Si côté sentimental, le soleil est au beau fixe (*_*), pour ce qui est des cours, c'est un peu la galère. Beaucoup de trucs à faire et à rendre, et la fac est bloquée depuis deux semaines. On ne sait pas encore les répercussions que cela va avoir... Et puis, cette année j'aurais tendance à la dire "morbide". Que ce soit dans mon entourage proche ou non, beaucoup de personnes sont décédées en trois mois. C'est moche. C'est glauque. Même Bashung est mort. C'est pour dire.

Pour ce qui est du blocage à Bordeaux III, je ne suis ni forcément pour, ni forcément contre. Disons que je comprends pourquoi on en arrive à cette extrémité, même si je doute que cela serve à grand chose. Comme le dirait une certaine prof', le blocage des universités, c'est bien souvent un auto-blocage des étudiants qui restent les premiers emmerdés par ces décisions. Le véritable souci, je pense, est le manque de dialogue et de recherche d'une véritable réforme efficace des facs. Le gouvernement décide de faire cela quasiment à sens unique, et tant que les enseignants-chercheurs ne seront pas écoutés, ça risque de durer... Et en attendant, on n'a toujours pas nos résultats du premier semestre... Monde cruel T.T

Voilà pour le petit topo.

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" L'Irlande pour la Saint-Patrick ? Oui, j'aurais aimé y aller. Mais bon, actuellement c'est boulot boulot... "

En attente du compte-rendu détaillé !

" Le soleil ? C'est quelque chose de rose qui flotte actuellement sur Toulouse. Si si. "

Une (in)connue.

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Michel Fize - Le Livre noir de la jeunesse (bientôt fini !) : Livre
Alain Bashung - Ma petite entreprise : Musique
Être avec lui - Oui, j'innove - : Envie
Flemmarde : Humeur
En espérant que tout se passe bien pour lui : Impression

9 février 2009

L'avenir me fait peur. Je veux croire en

L'avenir me fait peur. Je veux croire en certaines certitudes. Je ne peux même pas.

23 janvier 2009

Il est mort.C'est bizarre la mort. Elle surgit

Il est mort.

C'est bizarre la mort. Elle surgit quand on s'y attend le moins. Quand j'étais petite, suite à un incident, j'étais traumatisée par la mort. Dès que mes parents passaient le seuil de la porte, j'imaginais constamment qui leur arriverait quelque chose de grave. Et voilà qu'elle se refait présente, cette mort. Bien entendu, on s'y attendait. Mais ça secoue toujours quand elle est clairement là, présente, imposante. Il était gravement malade. Il est mort. Je le connaissais peu, mais c'était mon oncle, c'était le frère de mon père. Les dernières semaines n'ont pas été évidentes. Maintenant c'est terminé, il n'y a pas de miracle.

30 décembre 2008

Ce matin, j'ai fait un rêve.

Ce matin, j'ai fait un rêve.


Un rêve-cauchemar... Un truc de dingue, sérieusement. Et je m'inquiète même de savoir comment je peux imaginer des trucs aussi délirants. On se croirait dans un mauvais film. Suis-la seule à faire des rêves tels ? Où tout est aussi détaillé, où je me souviens si bien ? Où je finis par me demander si je ne sors pas tout droit d'un épisode de série fantastique...

Ce matin, donc, ce lundi 29 décembre (bonne fête aux David et à toi, un David pas comme les autres. Qu'on me scalpe si j'oublie l'an prochain), 10h. Le réveil sonne. La flemme. J'entrouve un œil, puis l'autre, je me lève (oui le truc fourbe chez moi c'est que pour éteindre le réveil faut se lever), j'éteins la sonnerie et... je retourne me coucher. Au diable les bonnes résolutions pour les révisions. Je me suis couchée à trois heures passées et c'est les vacances, donc zut. Je me rendors dis-je, et je fais un rêve. quand j'en suis brusquement sortie, j'ai cru que seulement dix minutes s'étaient écoulées. Erreur. Il était 11h30.

Quel était-il donc, ce rêve étrange dont je me souviens quasiment parfaitement ? Si vous n'avez pas peur de me considérer par la suite comme une folle notoire, une droguée ou une scénariste de films pourris, lisez donc. Les autres, vaut mieux pas...

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Mélaine (prénom breton), mon frère, est facteur. Or, - ce jour là, dans le rêve j'entends, - en rentrant chez moi, (et bien que mon frère habite depuis deux ans dans son propre appart', allez savoir...), je vois en bas de l'immeuble, plusieurs voitures noires et un attroupement constitué de voisins. Etonnée, je rentre chez moi, et vois dès la porte d'entrée plusieurs hommes en noir (des hommes du gouvernement, FBI tout ça) dans l'appartement. Quelque chose de bizarre se trame. Je fais difficilement un pas dans l'entrée que je me retrouve encerclée. D'un ton autoritaire, on me fait rapidement comprendre que mon frère est suspecté d'avoir détourné un paquet de la plus haute importance, destinée à une entreprise située sur sa tournée. Du genre top-secret ultra-confidentiel, Men In Black, X-files et tout. Pourquoi aurait-il fait ça ? Encore aurait-il fallu qu'il en connaisse le contenu... Bref, du délire.

Il n'empêche que ces hommes nous foutent dehors, mes parents affolés et moi, sous le regard suspicieux des voisins qui commencent déjà à jaser. A l'intérieur, on devine le tableau : ils fouillent. Tout, partout, dans tous les sens, sans la moindre douceur. Comme dans les films quoi. Et sans doute n'est-ce pas uniquement fictionnel. Bref. De nulle part, mon frère surgit alors. Il est au courant de ce qu'on lui reproche mais ne comprend pas. Il n'a tout simplement eu aucun paquet adressé à cette entreprise, il ne voit donc pas de quoi il est question. Après avoir tout fouillé, les agents du FBI rouvrent la porte de l'appart. Devant laquelle on est resté sagement comme des toutous, bien évidemment. Ils braquent mon frère comme s'il s'agissait d'un criminel, et le font re-rentrer à l'intérieur. Mes parents et moi suivons. Là, truc de base, interrogatoire... je passe. J'me souviens pas de tout dans les détails. Juste du tournant le plus important.

Soudain, un voisin veut remettre un cd dans le meuble à cd de mon père. Il en a deux côte-à-côte dans la salle à manger, ça fait limite toute une portion de mur avec juste des cases pleines de cd. Sauf que, derrière ce mur, logiquement, y'a rien, mais là, dans mon rêve, je vois comme le zoom d'une main qui traverse le mur et repose un cd de musique. Comme ça. Puis pouf, la main repart. Et ce faisant, le mur derrière le meuble à cd s'effrite. Ça ça reste de l'ordre du possible, vu que le bâtiment est vieux. Mais on s'en fout, reprenons. Le mur s'effrite, dis-je, et là, on aperçoit l'angle en plastique d'un cd. Même pas une puce électronique et tout hein, non non, un cd format normal, pourquoi pas une disquette tant qu'on y est... Les types du FBI s'excitent alors : on l'a trouvé il est là, embarquez les tous blablabla.

Normal. Sauf que, alors que l'un d'entre eux ouvre le boitier, il change brusquement d'attitude. Et là ça devient un peu flou mais en gros, c'est comme si y'avait une sorte de virus vivant... ou comment dire, une forme de vie qui vient prendre possession de votre corps juste au toucher. Donc ça se propage dans chaque type du FBI, et ils deviennent complètement dingues, violents, ils font trop peur et tout. Et c'est en ça que c'est un cauchemar. J'ai pas les images en tête, mais juste des sensations, et ça me faisait bien flipper.

Et en fait, après, ça contamine mes parents et mon frère, et il reste plus que moi, et là, c'est encore complètement débile mais j'y suis pour rien, c'est comme si j'ai vu le virus s'approcher de moi, et là, pouf. J'étais comme dans un des premiers jeux vidéos à la Pacman. Avec genre des petits ronds rouges pour les 'cellules' du virus, et des ronds blancs pour mes cellules, et ils se mangeaient les uns les autres. Et à la fin, il restait genre deux ronds blancs. J'avais vaincu, si si ! Et là, pour le fin mot de l'histoire, ça me mettait : le brouillon a gagné.

C'était moi, le brouillon...

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Et je me suis réveillée en sursaut, la première chose que j'ai dite à ma mère en me levant : Wah, j'ai fait un rêve de dingue.

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Edit : Bon, je suis rassurée, il n'y a pas que moi qui fait des rêves aussi... aussi. Regardez plutôt : Les rêves bizarres de Tim. Et n'hésitez pas à consulter les autres rubriques, c'est vraiment sympa. Je ne connaissais pas, merci Magic ! ^^


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26 décembre 2008

L'éloge à Coca-Cola

... ou plus communément : Noël.

J'espère que votre Noël s'est bien passé, dans la joie et la bonne humeur, comme il se doit. Que se soit en famille ou non, l'essentiel est que vous vous soyez bien amusés. De mon côté, je n'ai pas à me plaindre. Comme d'habitude, c'était un Noël en famille, à la différence près que cette année, c'était nous qui le préparions, soit 25 personnes dans l'appart', ou plus précisément dans la salle à manger. C'est jamais évident, mais ça passe. Faut juste se serrer pour danser, et remercier le Saint Capital d'avoir fait en sorte que des types inventent des tables ingénieuses, qui se plient comme des valises et peuvent contenir huit personnes sans problème, sans prendre trop de place. [mode pub OFF] Pour ce Noël, ma mère avait décidé que ce serait un Noël chinois. Original.

Mise à part mon cousin, sa copine, et la petite dernière de la famille, le bébé de 1 ans et trois mois, tout le monde était présent :
- Les cinq cousins-cousines (de 7 à 18 ans) qui savent pas où se mettre pour causer, jouer avec leur DS, et par la suite délirer avec les PetShow (genre d'animaux en plastiques plutôt stylisés dans des décors qui bougent par endroits = une sorte de nouveau PollyPocket) qu'a reçu la plus jeune. 
- Les grands-mères qui bavardent dans leur coin, dont une qui veut constamment tout surveiller.
- La tante fatiguée, parce qu'elle a bossé tout l'aprem.
- L'oncle qui a constamment froid et qui n'est pas au top niveau moral.
- Celui qui est vite bourré et se met à faire le lourd, à chanter à tue-tête pendant toute la soirée, puis s'endort au bout d'un moment sur la nappe, et qu'il faut habiller et tout au moment de partir, tant il fait le poids mort.
- Le trio : deux tantes + ma mère qui s'agitent dans tous les sens (aux fourneaux, à la vaisselle)... et qui nous virent de la cuisine quand mon frère et moi voulons aider, parce que soit-disant y'a pas de place.
- Et le reste, qui discute, prend des nouvelles, chante, danse...

Dans la famille Saya, je demande...

C'est tout ça les repas de Noël. C'est aussi les cadeaux plus ou moins surprises, la pseudo tombola, le pseudo karaoké... et le fait de dire dix milles fois la même chose à ceux qui demandent : "Comment ça va ? Les cours ?".

C'est ça, les repas en famille, par chez moi.

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JE VOUS SOUHAITE A TOUS UN JOYEUX NOËL 

19 décembre 2008

Ces derniers temps, quand je réfléchis à ce que

Ces derniers temps, quand je réfléchis à ce que je pourrais écrire sur mon blog, je bloque. Peut-être qu'il faudrait que j'arrête de réfléchir justement, ça me ferait du bien.

Aujourd'hui commencent les vacances. Y o u h o u. Ou pas. Honnêtement, ce ne sont pas vraiment les vacances de fin d'année que j'aurais imaginé. Je les aurais vu du genre rose avec des paillettes dans les yeux. Ahem. Ahah. Bref.

Pour le coup, les fêtes ne m'inspirent rien, organiser Noël me laisse totalement indifférente. C'est triste ._. C'est comme ça. D'ailleurs, pour continuer dans un esprit plaintif : les vacances commencent, disais-je, avec un mal de crâne. C'est la grande classe. Aujourd'hui je n'avais qu'un rapide passage à faire à la fac, pour déposer le dossier d'Analyse du discours (rédigé dans la peine, mais terminé, c'est l'essentiel). Je m'y suis littéralement trainée, tant mon crâne jouait du tam-tam ce matin au réveil. Infect. Au final, j'y suis restée un peu plus longtemps pour trouver des bouquins à la BU pour les révisions. Toujours est-il que c'est uniquement en rentrant chez moi que je me suis rendue compte que j'avais deux montres au poignet droit. Quand je vous disais que je m'étais réveillée HS... c'est bien la première fois que ça m'arrive. Si quelqu'un m'a flag' à la BU j'ai du passer pour une grosse psycho de l'heure.

'Fin bon. Ça reste des vacances, alors je vais éviter de trop faire ma chieuse... en espérant que je sois quand même un minimum productive pendant ces deux semaines. Je souhaite un bon courage à ceux qui bossent et de bonnes vacances aux autres.

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Et sinon, ça vous est déjà arrivé de faire des trucs
totalement illogiques sous le coup de la fatigue ou de la maladie ?


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Que sais-je ? - L'imprimerie   : Livre
Elfen Lied - Opening : Musique
Être le 13 janvier : Envie
I miss you : Humeur

5 décembre 2008

Titre censé évoquer toute la flemme contenue dans ce message.

L'heure n'est plus à la rigolade. Il faut bosser maintenant.
Faire les dossiers de spécialisation et d'analyse du discours et réfléchir à cette foutue présentation orale en anglais (AHAH. Ça risque d'être comique.). Mais bon, quand il faut il faut.
Il faut trouver un stage aussi. Et plus vite que ça. Sinon les mois avancent et je serais dans la merde... Qu'est-ce que j'aime pas cette période de l'année.
C'est fou comment, quand on veut que le temps s'arrête, il nous snobe et poursuit inlassablement sa route.
Je veux être à la mi-janvier. Les partiels seront terminées et la recherche de stage aura été, je l'espère, fructueuse. Ça laissera un peu de répit jusqu'à la fin de l'année. Et je le verrais. Seulement, on n'y est pas encore.
Maintenant, il faut bosser.

Motivée.

14 novembre 2008

Envie immature d'arrêter le temps.

Envie immature d'arrêter le temps.

9 novembre 2008

Je suis heureuse. Je l'ai tout le temps en tête.

Je suis heureuse. Je l'ai tout le temps en tête. Ce qu'il fait, comment il se sent. Une profonde espérance ancrée en moi. Des sensations inconnues jusque-là. L'air niais de ceux qui sourient à la pensée d'un simple visage. Mais j'ai aussi le sentiment de passer à côté de quelque chose de plus fort encore. Deux heures de train, c'est peu et beaucoup à la fois. C'est trop. Je voudrais pouvoir le voir plus souvent, être à ses côtés dans les moments les plus quotidiens, sans que chaque venue soit attendue. Je voudrais pouvoir être un couple tout simple, deux personnes qui peuvent faire ensemble pleins de choses rythmant la vie à deux. J'ai le sentiment que cela ne sera pas le cas avant un moment. C'est long le temps. Si seulement tout pouvait être plus simple. Si seulement un claquement de doigt pouvait tout résoudre, tout rapprocher. Si seulement la distance n'existait pas.

Quand on est heureux, on veut toujours l'être plus.


Je suis h e u r e u s e.

Merci, toi.

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